Nous sommes dans une ère nouvelle, nous pouvons nous ouvrir à une vision élargie du monde et trouver la sécurité à un niveau plus élevé. Et ainsi entrer en vibration, en résonance avec cette dimension plus large.
Et si nous nous intéressions de plus près au cœur, à l’eau et à la lumière, les ingrédients indispensables pour dissoudre nos pensées et purifier notre corps ?
Le cœur
Le cœur est un grand transformateur d’énergie, c’est lui qui crée des ondes électro magnétiques influençant le monde autour de nous sur la base de nos pensées et leurs émotions associées, il est capable de transmuter les énergies ; le défi de l’humanité d’aujourd’hui serait peut-être d’apprendre à se hisser plus souvent au niveau du cœur.
L’eau
L’eau est à la fois un dissolvant de nos scléroses et une présence subtile dotée d’une âme, d’un corps et d’un esprit . C’ est un interlocuteur vivant, porteur d’information, au pouvoir transformateur.
Les travaux de Masaru Emoto (cliquez ICI) attestent que l’eau possède la capacité à mémoriser, reproduire et transporter de manière permanente l’information à travers le corps.
Par ses photos de cristaux d’eau ré informés, il aborde ainsi le « monde des énergies subtiles, relié à la conscience » ou « Energie Universelle ». La ré-information de l’eau se fait avec des éléments positifs (par la pensée, la prière, une photo, un mot, et l’envoi d’énergie positive). La matière dans sa structure la plus subtile est modifiable par la conscience humaine.
La lumière
Le matin si nous contemplons le lever du soleil, c’est pour recevoir sa lumière comme nous recevons l’eau, l’air et la nourriture. La lumière pénètre en nous par de tous petits canaux, produisant dans notre être des vibrations plus intenses . Ce travail se fait de toutes façons à notre insu, si ça cela passe à la un niveau de conscience, les résultats vont en être décuplés . Ainsi, la lumière consciente fera croître des vibrations nouvelles qui élèvent l’être.
“Mais ne croyez pas que la lumière pénètre en l’humain en une seule et unique fois” – Anne Gevaudan.
Mettre en doute la lumière qui nous constitue, c’est là notre premier dés-astre. Penser avec la Lumière c’est panser nos blessures d’âme.
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